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| | Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky | |
| Auteur | Message |
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Hey, c'est Karl O. Korvinsky ▌Sexe : ▌Sms : 118 ▌Total des points : 129 ▌Localisation : Bon Temps, depuis peu !... ▌Humeur : Placide en générale
| Sujet: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Sam 5 Nov - 12:49 | |
| 530 ans environ • Toutes & aucune • Lycan ~ Placide en général ~ Misanthrope en société ~ Fidèle en amour ~ “BE QUIET & LISTEN TO MY STORY"
- XVe siècle - _ En la maison des Wolugen, le 13 e jour de mars 1481 à Hambourg, petit port libre de l'Hanse, vint au monde un beau petit garçon très attendu par ses parents Elrich, August Korvinsky Von Wolugen et Berthe, Ingrid Gertrud Von Wisenbourg, de petits commerçants spécialisés dans le lucratif négoce du tissu dont ils tiraient une certaines aisances financière qui leurs permirent d'acquérir charges et honneur au sein de leur petite communauté. L'enfant est bien né, vigoureux et costaud, mais silencieux, ce qui en étonne beaucoup... et qui continuera d’intriguer les voisins et amis de la famille durant toute l’enfance du petit Karl...
La famille Korvinsky était originaire du petit royaume Magyar à la triste réputation, que le grand-père August, Vlad Corvinsky avait fuit pour venir s’installer à Hambourg avec sa petite famille. Travailleur, ce dernier parvint en l’espace d’une génération de hisser sa famille parmi les plus notables de la petite cité portuaire de la Hans traversée par l’Elbe. Mais le grand-père n'eut pas la chance de voir naître la seconde génération Hambourgeoise puisqu'il mourut au noël 1480. Le petit Karl vécu une enfance heureuse mais surtout studieuse suivant la rigueur prussienne. Avec toutefois quelques petites compensation car la petite domesticité de la maison adorait notre cher Karolus, constamment « poulotté » par les servantes, il fut très vite dégourdi quant à la proximité des corps de sexes opposés. Il multiplia ses expériences, jusqu'au jour où son père considérait qu'il était temps d'apprendre un métier à son fils. Il décida d'envoyer le jeune Karl à la très réputée Université de Cologne pour y suivre l’enseignement du droit et en être diplômé.
A son retour muni de tous les honneurs universitaires, le jeune homme était devenu beaucoup plus sérieux, et s'installa comme homme de lois dans une petite masure que sont père lui avait acheté, tout comme son épouse d'ailleurs. Karl n'était pas amoureux de cette femme qu’on lui avait mise dans les pattes. Froide, distante et d'un physique peu arrangeant, ce mariage avait des intérêts financiers qui dépassaient les espérances de cher Karl, qu’il combla par la fréquentation d’autres femmes plus stimulantes. Toutefois il l'honora à trois reprise, et permis ainsi de répondre aux exigences des grands-parents sur une descendance attendue. Mais il rêvait de voyage, et quand son épouse mourut en couche en même temps que leur quatrième enfant, il y vu un signe du destin et tenta l’aventure en partant en Bavière. Ainsi il se débarrassait du joug de son père et de l’attente des notables de Hambourg qui le voyait déjà consul. - XVIe siècle - La petite famille partie dans les premiers jours de mars 1501, arrivée à Munich avec les quelques finances résultant de la vente de ses biens à Hambourg, Karl acheta une belle maison dans les faubourgs à l’orée des bois, choix qui se révéla désastreux. Investissant au début en tant qu’associé dans le commerce du vin, il assainit ses finances très rapidement, avec ses profits qu’il répartit dans de nombreux domaine dont l’immobilier, il devint très vite un notable en vue de Munich. L’aisance lui souriant, il devint vite l’objet de projets de mariages par tous les notables qui s’était renseigné sur le jeune veuf et sa riche famille de Hambourg. Ne prêtant que peu d’intérêt à ses intrigues maritales, il avait entamé une liaison très houleuse et surtout mal vu par ses concitoyens, compte tenu des mœurs que l’on attribuait à la dame. Et pour une fois, il n’aurait pas du suivre son instinct et écouté la voix de la raison public…
- Ma première malédiction… et ma nouvelle vie:
(( L’automne 1504 s’enfonçait dans la nuit d’un hiver qui partait pour être l’un des plus rigoureux. Sans avoir fait attention à la clarté de la lune et des suppliques de sa maîtresse pour ne pas le rejoindre cette nuit, je ne pu m’empêcher de quémandé ma pitance affective. Je rentrai dans la demeure où régnait un silence de mort peu habituel dans ce temple de la gaieté et de la luxure. Puis j’entendis des hurlements sourds et crut Sybile en grand danger, alors qu’en fait c’était moi qui m’y mettait.
Sybile, où es-tu ?... Chérie, qu'est-ce qui ce passe ?...
Grrrroaww !... Nannnn ne descend pas... rrrressste dehors!...
Un bruit de lutte résonnait le long des murs, meubles brisés... Je me précipitai en défonçant la porte et m’effondrai avec celle-ci à l’intérieur de ladite cave. Allongé par terre, je levai la tête et ne vis rien d'autre que des ombres… ne comprenant rien de ce qui se passait… mais je subis l’attaque d’une bête… sauvagement mordu au cou, les yeux écarquillés, je perdis très vite connaissance et ne me réveillai que le lendemain. Comateux en sortant d'un cruel réveil peuplé de cauchemars qui n’en étais pas, jamais je ne m’était senti aussi mal, surtout que je ne me rappelais de rien et ne percevais que le goût métallique du sang dans ma bouche.
** Que c'est-il passé ?... Où est Sybile ?...**
Sans vraiment comprendre, je sentis que mon corps se transformait, sans vraiment savoir ce qui se passait, car quoi que j’aie subi, cela accélérait ma cicatrisation d’une façon anormale, car il ne persistait plus aucune traces des dernières attaques dont j’avais été la victime. Je m’interrogeais, mais je n’avais personne à qui en parler, car en ce début du 16e siècle, ce genre de signes indiquaient la présence du ‘malin’ en mon corps. Le clergé local aurait immédiatement vu dans ces faits une inévitable preuve de ma possession par un démon. Cependant, la chance ou le hasard vint m’apporter les réponses espérées, ces dernières me furent révélées le soir même. Bien que descendante, la lune affichait une face pleine et agissait déjà sur moi, réveillant la bête démoniaque enfuit dans les tréfonds de mon âme. J’observais avec horreur mon corps changer, se transformer, se métamorphoser en réalité...
** Je suis maudit !... Le malin me possède !... Que vais-je devenir ?...**
En une nuit, la vie de cet homme de lois et de commerces si ordinaire que j’étais fût bouleversée, la transformation provoquait d’horrible souffrance qui m’ôta tout contrôle sur mes actions. Tout comme ma maîtresse l’avait fait avec moi, j’hurlai à mon épouse de fuir... et bien sur, elle ne m’écouta pas !
Neiiiinnn... Kommen Sie nicht hier ... Ich werde dich töten !...
Oh mein Gott....
L’affreux spectacle que je découvris le lendemain en voyant les corps de ma femme, de mes enfants et ceux de la domesticité qui avaient été horriblement éviscérés. J’en perdis temporairement la raison et m’enfuis de ce lieu souillé par le sang des miens. Errant sans but durant cinq jours, lorsque je revins en ma maison, les prévôts m’attendaient avec un regard compatissant. Interroger mais très vite innocenté, car les suspicions de culpabilité s’étaient rapporté sur ma maîtresse. Mais je ne pouvais pas me voilé la face, je devais partir le plus vite possible pour éviter d’être associé à ce massacre un jour ou l’autre, je vendis tous mes biens et pris la route vers le comté d’Orange. Personne ne fut choqué qu’après un tel malheur, je décidai de quitter ce lieu maudit...
Durant plus de quatre vingt ans, je ne cessai pas de rechercher des réponses à mes interrogations sur ma nature, mais je ne trouvais que de nouvelles questions. Jusqu’au jour où tombant par hasard sur celle qui était la cause de mon malheur, je saisi cette occasion pour obtenir des réponses. Elle n’était venu dans ce comté que pour relancer le commerce de son mari…la rage remontait en moi, attendrait-je la pleine lune pour arracher à cette femme la famille qu’elle s’était créée pour m’avoir maudit par la disparition de la mienne. Je l’interpellai et fut étonné sur l’absence de toute dérobade, elle voulait s’excuser de mes malheurs dont elle était la indirectement cause, mais surtout m’expliquer ce que j’étais devenu avec « moulte » détails.
** Je lui en voulais énormément, mais elle me rappela sa demande de ne pas venir la voir la fatidique et tragique nuit où elle m’avait mordu. En réalité, j'étais le seul coupable... **
Énumérant les règles que tous « warewolf » se devait de respecter pour ne pas nuire aux autres et vivre pratiquement comme tout le monde. Maintenant en possession de tous ce que je recherchai, je ne pu m’empêcher de lui demander si son mari avait connaissance de sa particularité. Là, elle éclata de rire … Elle n’avait aucun mari, mais elle avait été obligé d’en inventer un pour commercer en son nom, univers d’homme...
Ah ah ah !... Je te croyais plus malin, tu connais le monstre qui nous habite et nous contrôle une fois pas mois, crois-tu sérieusement que l'on peut vivre normalement avec cette malédiction... Deviens un solitaire, c'est ton seul salut...
Karl ne pu jamais pardonné à cette femme l’infamie dans lequel elle l’avait plongé, mais en même temps, elle lui avait apporté toutes les réponses qui lui permettraient dés lors de vivre le plus discrètement possible. ))
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L’année 1509 compléta la malédiction qui avait bouleversé la vie de Karl, par une conséquence d’une rencontre involontairement catastrophique. Ayant choisi de vivre en reclus de la société humaine, mais comme un coup du sort, il contrôlait mal ses transformations durant les pleines lunes. Contrairement à ses congénères, son nombre de morsure ne lui avait pas permis d’obtenir la maîtrise de ses métamorphoses. Durant l’une d’entre elle, sa nature bestiale en vain à s’attaquer et à tuer une jeune femme, sans savoir qu’elle n’était autre que la fille d’une puissante sorcière. Cette dernière débordant d’une peine qu’elle ne pouvait contenir, usa de tous ces pouvoirs dans le but de jeter un sort dont elle saurait qu’il serait son enfer sur terre. Cette sorcière lança un sort sur ce pauvre Karl, elle condamna à vivre éternellement sans jamais avoir ce qui était sa raison de vivre, une descendance. Après avoir fait fabriquer une cage qui pourra contenir sa rage causé par la souffrance de sa transformation, il quitta le comté pour descendre sur la Flandre, puis le nord du royaume de France, pour arriver au duché de Bourgogne. Ayant sur la route fait de juteux négoces, il pu s’acheter un domaine reculé et étendu, achat possible car les terres affichaient un si faible rendement, que les locaux ne virent aucun problème pour qu'il achète toutes ces terres mortes...
Exerçant une profession n’ayant aucun rapport avec la culture, il aménagea sa demeure avec l’espoir d’une paix enfin trouvée. Cela faisait presque vingt ans qu'il parcourait le nord du continent et la lassitude se faisait sentir de plus en plus. Au fil de ses vagabondages, il rencontra l'une de ses congénères qui l’avait convaincu du bien fondé d’apparaître comme mari et femme. Acceptant l’offre sans pour autant être totalement d’accord avec cette idée…
- XVIIe siècle - Alors que le dernier jour d’avril 1617 se couchait en ces terres bourguignonnes et que Karl fêtait fièrement ses cent quarante six années de vie écoulées, les nouvelles des troubles au sein du royaume de France était arrivées en ces plus profondes contrées, le roi Louis XIII avait récupéré le pouvoir et d’une façon expéditive. Quant on pense que l’on traite de gentils loups-garous comme nous de tous les vis alors que nos vies ressemblaient beaucoup plus à celle de monsieur et madame tous le monde… Voilà plus de vingt ans que le couple de lycan vivait près dans la campagne à une cinquantaine de lieux de la belle cité de Nevers.
La vie s’écoulait doucement, et la manie de Karl d’accumuler tout et rien naquit à cette période, il engrangeait tous les meubles, bibelots et objets décoratifs ce qui agaçait profondément sa compagne qui n’y voyait que vieilleries à jeter. Heureusement, il ne l’écoutait quasiment jamais et bien en a pris ce cher Karl, car il en fit sa fortune à l’époque contemporaine. La Bourgogne étant depuis longtemps dans le giron de la couronne de France, elle ne souffrait que peu de querelles de pouvoir qui se déroulait à Paris. Karl dû aussi trouver toutes sortes de manipulations juridiques pour demeurer le seul possesseur de sa propriété alors que les années s’écoulaient avec la succession de propriétaires, dont seul le nom changeait. D’ailleurs les rumeurs commençaient à courir sur cette propriété dont les possesseurs se ressemblaient beaucoup.
Après environs soixante dix printemps passés dans ces beaux paysages bourguignons, il était temps pour eux de partir avant que ces questions n’en deviennent que trop persistance. Il faut dire qu’ils ne pouvaient pas toujours aller à la messe, leurs visages s’imprimeraient trop dans l’esprit des villageois. Alors ils laissèrent courir le bruit que les propriétaires ne vivaient pas dans la bâtisse, mais à Paris, où le maitre de maison gagnait sa fortune qui lui permettait d’acheter de nombreuses terres. Cependant, notre couple de lycans vendit ces dernières pour partir s’installer en terre limousine, où les gens ne font guère attention aux « estrangous », ce qui arrange bien nos amoureux loups-garous. Mais ce départ avait aussi pour but de changer les idées de la compagne de Karl devenu de plus en plus sombre.
Là bien mélancolique Jeanne dont l’esprit s’assombrit au fil des années comme vidé de tout envie, tout désir et toute joie de vie. Karl savait que cette sombre attitude venait de son refus d’avoir des enfants, il ne voulait pas condamner un enfant dés sa naissance à leurs malédictions. Elle ne cessait de lui dire qu’il pouvait être tout à fait normal et ne pas hériter de leur tare, mais elle n’arrivait même pas à s’en convaincre en le disant. Il avait également remarqué les œillades fortes peu discrètes que Jeanne lançait au jeune forgeron du village… C’est la mort de ce jeune homme qui décida Jeanne de partir sans l’en avertir. Le voilà seul en pays limousin, le désespoir de la solitude commence à l’envahir lui aussi.
- Découverte personnelle…:
(( La famine de cette année 1694 décida à sa place du destin de ce cher Karl, se faisant appeler Charles Corvinet, il considéra que la capitale lui offrirait plus de distraction que cette verdoyante et vallonnée campagne des environs d’Ussel. Vendant tous ces biens sauf sa collection de meubles et bibelots, qu’il entreposa dans une caverne secrète qu’il avait initialement aménagée pour les moments plus que pénible des pleines lunes. Partant à l’aventure, il commença par vivre aux alentours de Paris, pour enfin s’installer dans une petite cité dénommé Versailles. Là, il ouvrit une boutique de prêt sur gage, où il engagea très rapidement un commis qui le remplaça bien vite, tant il désirait que l’on oublie son visage. Heurts et violences apparaissaient à chaque successions ou querelles entre petits seigneurs avides de plus de pouvoirs, un simple marchand comme ne pouvant porter l'épée, je devais trouver une astuce pour me prémunir de tout vol que l'on tenterait de commettre à mon encontre. Et si j'avais habilement maquillé une lame sous l'apparence d'une canne, je n'en restais pour le moins qu’un néophyte le plus complet pour ce qui était de la magner avec efficacité. Il comprit dès lors que pour sa survit, il lui fallait acquérir l’art de l’escrime, il se mit donc en quête d’un maître d’arme et fit un curieux choix. Il lui fallait un maître d'armes, qui ne serait pas regardant quant à son ‘extraction’. Des rumeurs l'amenèrent jusqu'à la petite cité de saint Denis, là il découvrit que le maître d’armes, dont on ne cessait de lui vanter les mérites, n’était autre qu’une femme. La donnée fut difficile à accepter, mais la vision de l’une de ces démonstrations de nuit qu’elle affectionnait tant, finit de le convaincre et lui donna l’audace de l’aborder pour sa curieuse demande. Peu incliner à des entrainements solitaires de nuit, précaution à laquelle Karl tenait plus que tout, car elle ne souhaitait pas passer pour une femme de mauvaise vie. Il lui proposa alors de faire appel à l’un des membres de sa famille en qui elle avait suffisamment confiance pour en garantir le silence sur son état de non noble. Elle accepta et nous nous retrouvâmes en un lieu très discret avec son père, trop vieux pour bretter encore, il y voyait l’occasion de transmettre des passes familiales secrètes en limitant les personnes qui y avait accès, mais cela Karl l’ignorait et ne s’en souciait guère...
« Mes hommages monsieur, je vous présente mon père qui pourra garantir la droiture de ma conduite… J’ai pris la précaution de venir avec ces armes d’entrainements, le bois les rend plus légère et moins réactive aux contacts. Il vous faudra en tenir compte plus tard… »
« Mes hommages mademoiselle & monsieur, je vous remercie encore d’accéder à ma demande si particulière. Et sachez que vous avez mon entière attention et que je ne me plaindrais jamais… »
En effet au rythme d’une séance d’entrainement par semaine en changeant lieu et date pour ne prendre aucun risque, mon niveau s’améliorait sans cesse, je ne pouvais certes rivaliser avec mon maître. Mais cette dernière y vit un bénéfice dû à mon endurance dont elle ignorait l’origine, ce dont Karl s’attelait à ce qu’elle en ignore toujours l’origine. Durant deux ans les progrès constants l’amenèrent à elle aussi poussé plus loin ses capacités que sa constitution de départ lui apportait. Son père lui enseigna, ainsi qu’a moi par la même occasion, trois de ses bottes secrètes. Il était ravi de l’évolution de sa fille, et n’arrêtait pas d’interroger sur les raisons de son célibat. Pour lui, un veuf devait vite se trouver une nouvelle épouse et notre lycan comprit que ses jambages n’avaient pour but que d’éviter la gêne à la demoiselle. Karl percevait les projets qu’échafaudait le vieil homme, il connaissait certaines de ses bottes secrètes et même si sa fille se révélait bien meilleur que lui, il l’aurait volontiers confié fille et école d’armes entre les mains de Karl.
« Maître, je ne puis envisager de m’insérer dans vos projets, sachez que je le regrette, mais ma nature profonde ne s’accommode pas de vos obligations. Non, que ce nouveau défi m’effraie, mais j’ai en moi un secret que je ne peux vous révéler et qui m’ôte tout espoir d’être celui que vous cherchez. »
Observant la belle Eleonor qui faisait mine de s’intéresser à tout autre chose, mais ne perdait pas un mot de la discussion que son père avait avec le loup-garou. Comprenant alors que ce projet leur était commun et qu’il signait la fin de son accord.
« Belle Eleonor, s’il vous plait de vous joindre à cette conversation, je crois que son sujet et les conclusions vous concernent tout autant que nous. »
Elle se rapprocha et son visage affichait pour la première fois depuis qu’il la connaissait de la colère. Elle fixait droit dans les yeux comme un juge qui essaie d’établir le châtiment à lui donner.[i]
« Je vous dois la vérité car je vais partir pour ne plus revenir et la connaissance ne vous rendra pas pour autant dangereux. Je ne peux vous épouser Eleonor, parce que je suis un être damné, un vampire… »
[i]Elle se tourna vers son père et tout deux souri en se retournant vers moi.
« Cela fait déjà un bon moment que nous le savons… mon père a refusé d’enseigner le maniement des armes au fils duc de Bourgogne, et j’ai aussitôt sauté dans les pas de mon père quand le bougre me promis mariage forcé avec l’un de ses bâtard. Ce que nous vous demandons, c’est que vous me transformiez en ce que vous êtes et je deviendrais votre compagne !... » … elle rougit sur la fin de sa phrase …
Les yeux ronds, Karl resta paralysé par une telle demande, comment un père peut souhaiter damner sa fille plutôt que de la voir marié… Les tares du mal né étaient si importantes qu’il préférait la voir marié avec un loup-garou et elle-même en devenir une. Demandant le temps d’une réflexion qu’il jugeait nécessaire. Ils me l’accordèrent, mais avec à peine voilé la menace de me trahir si je venais à fuir… La folie sans doute contagieuse, Karl finit par accepter en se disant qu’il n’aurait plus à retenir ses coups et que ses progrès seraient plus rapide.
_ Voilà comment je vécu ma première relation de couple avec une lycane qui avait choisi son sort et découvrit très vite que ses sentiments à mon égard était plus passionné que je l’avais imaginé… Passion qu’un jour, je fuirais tant elle était contraignante, mais cela est une autre histoire… _ ))
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- XVIIIe siècle - Autant le 17e siècle fut calme à la limite de l’ennuie, alors que le suivant s’annonçait mal, Vauban publia sa proposition d’une dîme en 1707, comme si l’on n’avait pas assez d’impôts. La paperasserie devenait de plus en plus présente, et demeurait un véritable souci. Mais une lumière éclairait cette époque qui acheminait la France à faire la guerre à pratiquement tous ses voisins sans une véritable réussite qui plus est, mais ses monarques désirant occupés sa haute noblesse pour avoir la paix, se lançait dans des projets dispendieux. Karl sut en profiter, prêtant de l’argent quasiment à toute l’aristocratie présente à Versailles pour chercher faveurs et titres honorifiques auprès de roi qui ne se souciait que de paraître. Il prit soin de ne pas recevoir des terres en garantie, considérant qu’un changement brutale de monarque pourrait voir ses biens disparaître dans la recherche d’argent frais pour un monarque constamment en guerre.
Mais désormais les gens commençaient à se rappeler ce visage qui ne vieillissait jamais, il fallait partir mais pour où. Pas un seul royaume ne semblait désireux vivre en paix, une paix relative suffirait à Karl mais voilà… cette dernière aurait pu éviter la pénurie que les aristocrates feignaient de voir pour se vautrer dans la débauche et la luxure. Karl parti pour la petite cité de Nantes, qui semblait faire l’objet d’une forte concentration de capitaux. A la fin de l'année 1753, il y rencontra la troisième femme de sa vie, cependant elle n’était ni humaine ni lycane, mais Vampire.... Et là, un tabou se levait entre eux issu de leurs deux communautés, car les deux races ne devaient jamais se mélanger, une des rares et uniques lois valables pour les deux espèces.
Ils ne purent lutter contre leur attirance, il lui fallait la voir, la toucher et la sentir. Ils s’étaient rencontrés chez un libraire, car Karl avait développé une nouvelle passion, les livres. Il les collectionnait en recherchant les éditions les plus rares, et sans s’arrêter à un genre particulier, il affectionnait tout particulièrement ceux traitant des Loups-Garous. Errant dans les allées de la plus grande librairie de Paris, il se heurta à la belle Olga, une jeune femme brune d’une beauté qui subjugua le pauvre lycan sans qui l’en soit malheureux. Il sentait bien qu’elle était différente, et cette heure si tardive pour venir chercher un livre. D’ailleurs comment n’avait-il pas remarqué cette bizarrerie, une libraire ouvert à plus de dix heures du soir alors que sa réputation l’a mettait à l’abri de toute nécessité poussant à des horaires d’ouvertures aberrants. C’est uniquement quand il regard vers le comptoir qu’il comprit tout, même la nature de la dame. Échangeant un regard curieux et inquiet, la belle 'vampiresse' vit rapidement que Karl ne représentait aucun danger, et même l’intéressait énormément.
Considérant que le lieu ne pouvait guère se prêter à des échanges de civilités, de simple regard similaire montrant la sortie. Avant de partir en emmenant le cadavre et les livres avec eux, ils se présentèrent en face à face. La jeune femme était originaire de Russie, elle avait appartenu à la noblesse avant sa transformation, voilà un peu moins de quatre vingt ans. Elle avait vécu quelques temps avec son sire qui passait de femme en femme, jusqu'à ce qu’un jour, l’une d’elle le décapita voilà vingt ans. Bien que libérer depuis longtemps de celui qui l’infanta, elle avait toujours craint son retour jusqu’à ce jour bénit. Olga, Elena, Irina Olgorova affichait un visage d’ange à qui l’on aurait à peine donné vingt ans, son port fier et droit ne dissimulait pas sa lignée et l’aisance de son expression en français indiquait une femme très instruite, chose rare à cette époque.
Ils se revirent de nombreuses fois, en se cachant, se sentant observer, mais leur amour grandit, l’un et l’autre était trop connus sur Paris et sa région pour vivre leur amour. A partir du 8 mai de l’année 1788, la contestation s’étend sur tout le territoire français et l’ampleur de ceux-ci ne parvient pas jusqu’à la noblesse, la création constante de nouveaux impôts ne cessent de placer le peuple dans une situation de survie qui n’aboutit qu’à une seule voie, la révolte. Karl et Olga prennent la situation comme un signe et monte à bord d’un bateau en partance pour le port de Plymouth. Ayant préparé leur voyage depuis deux ans, ils réceptions tous leurs biens qu’ils chargent pour les stocker dans un petit bourg au sud de Londres, Croydon. Là-bas, ils avaient acheté une petite propriété, Karl se chargeant de toutes les démarches diurnes, pendant qu’Olga rangeait et formait la domesticité aux mœurs de France.
C’est de leur retraite qu’ils entendirent les rumeurs de révolutions venant de leur pays de cœur et surtout les arrivages constants d’aristocrates français ayant tous perdu où presque et se mettant en quête de charges pour retrouver leur niveau de vie. Nos amoureux observaient les évènements amusés et inquiets, il paraissait évident que des membres de leur communauté respective fuiraient le tranchoir du sieur Guillotin. Mais l’évolution de la société britannique occupait beaucoup ces nouveaux arrivants qu’un couple contre nature. L’industrialisation du pays était si rapide que les autochtones eux-mêmes ne comprenaient plus rien et ne reconnaissaient même plus leur pays. Nos tourtereaux ouvraient leurs esprits pour assimiler le plus de nouveautés possible, mais ils avaient du mal à suivre ce train d’enfer....
- Maudite voleuse…:
(( Avril 1702 débutait lorsqu’un escroc s’était habillement joué de moi, en faisant voler un livre auquel je tenais plus que tout, mais pas moyen de le récupérer légalement. Et curieusement en pareil cas, je faisais toujours la rencontre qui me fit changer d’avis sur la médiocrité des capacités humaines. Mais cet immonde pourceau avait profité d’une de mes absences pour me voler, et je décidai de suivre la loi de Talion… Me préparant pour une opération récupération et casse-croûte sur le pouce. Car après avoir tué mon voleur, je me serais mis en quête de mon livre avec peu d’espoir, mais cette nuit alors je me donnais peu de chance de remettre la main sur mon précieux ouvrage, j’attrapai une cambrioleuse en plein action dans mon coffre personnel. Alors que je l’attrapai grâce à mes capacités hors normes, je fis connaissance avec cette voleuse possédant un aplomb qui me confirma qu’elle n’en était pas à son premier larcin.
« Comment t’appelles-tu ? »
« Cathaline M’sieur ! Qu’est-ce que vous êtes M’sieur ? Et qu’allez-vous faire de moi ? »
Elle m’avait qu’entraperçu mes mouvements mais avait compris rapidement que j’avais certaines dispositions hors normes. Cependant elle ne semblait pas si inquiète qu’elle le devrait, m’amenant à douter de tout ce qu’elle pourrait me dire. M’ayant observé entrain d’utiliser la rapidité propre à ma race, il était inutile de mentir. Qui plus est, qui croirait une voleuse.
« Ne crains rien … cela fait bien huit mois que tu œuvre dans la région. Je crois qu’il serait stupide de mentir sur ma nature compte-tenu de ce que tu as vu … Je suis un vampire et c’est pourquoi tu ne pouvais pas m’échapper. Mais je dois reconnaître que tu possède un certains talent, et je pourrai avoir besoin de tes dons. Il serait avantageux que nous joignions nos moyens. »
« Vampire !!... Vous êtes un vampire ?... »
Dans un déplacement vampirique qui me plaça derrière elle dans la seconde qui suivie sa prise de parole. Elle écarquilla ses yeux exprimant ainsi l’effarement de la situation. Je voulais qu’elle comprenne que seul la mort récompense la traîtrise.
« Nous allons nous associer et ne cibler un escroc humain. Si tu es pris, je tuerai ceux qui t’auraient attrapé pour te libérer. Une fois le coup fait, tu garderas tous ce que tu auras pris à l’exception de l’objet que je désire récupérer. »
Cathaline accepta sans être vraiment convaincu du bien fondé de cette association. Mais les semaines qui suivirent lui prouvèrent qu’elle avait fait le bon choix. Le printemps, puis l’été 1702 furent plus que profitable au projet de notre curieux couple, et je pu enfin mettre ma vengeance au point… Le mois de juillet se clôturait lorsque nous sommes parti rendre une petite visite à mon voleur avec un plan si minutieusement préparé, qu’il lui était impossible de remonter jusqu’à moi… Alors que nous revenions victorieux, Cathaline suffisamment riche pour deux vies et moi ravi d’avoir repris mon bien, nous détendîmes sur mon lit...
Petit à petit, elle semblait avoir oublié ce que j’étais, je remarquai même quand cette instant elle attendait autre chose de moi… mais il n’en était pas question. Transformé une voleuse en vampire s’était s’assurer des ennuis pour l’avenir. Affaler sur mon lit et l’aube qui pointait, Cathaline débordait encore d’énergie et avait prévu une tout autre occupation pour la journée qui se pointait. Son but était évident, me manipuler une fois qu’elle pensait m’avoir séduit par ses atouts charnelles.
« Cathaline, je suis dans l’incapacité de ressentir la moindre émotion, tu en es bien consciente ? »
« Qui te dis que je cherche l’amour !... Tu n’es pas humain, mais pour çà, tu fonctionne pareil, hein ? »
« Et je ne te transformerais pas en vampire, çà aussi tu le sait ?... »
« Ah tu es surtout aussi stupide que tout les hommes malgré ton expérience… »
Cathaline s’allongea à mes côté et me lança un regard droit dans le mien et dont le message était plus que clair. Elle commença par m’embrasser… Certes au début, ma fatigue freina mes ardeurs, mais elle savait comment motiver son homme. Nos jeux commencèrent par une découverte mutuelle de nos corps durant nos effeuillages respectifs. Suivant les ordres de son regard, je pris alors les choses en main en laissant courir ma main le long de son cou, puis en contournant l’une de ces rondes collines, je remontais sur le joli téton placé à son sommet. Tout en poursuivant mes caresses sur son torse, puis sur ces hanches, pour enfin me rapproché d’une forêt bien peu étendu bien que très touffu. J’entamais l’exploration de ce bosquet avec des doigts dont la pulpe se contentait d’effleurer les lèvres qu’ils rencontraient. Titillant le bouton gonflé de désir de Cathaline, son corps entier se raidi en frissonnant, la peau couvert de chair de poule ce tendait à chacun de mes contacts. Cathaline ne resta pas inactive, lorsque mes doigts arrivèrent sur son bassin, elle m’accrocha par la nuque pour me rapprocher d’elle, mais surtout pour glisser sa main du haut de ma colonne vertébrale à ma chute de rein. Là, elle empoigna ma fesse avec une fermeté et une force que je ne lui aurais pas imaginées. Je me glissai entre ses jambes qu’elle s’empressa d’utilisé pour me ceinturé, et par un resserrement brusque, me fit entré en elle. J’aurais cru nécessaire de préparé un peu plus mon entrée, mais il semble qu’elle s’était déjà préparé mentalement avant son offensive. J’étais faible… J’avais céder… alors abandonnant toute résistance, je décidais d’imiter la houle avec mes allées et venus en son sein dans un rythme régulier. Elle plaça sa main gauche sur le haut de sa nuque en laissant l’autre sur sa fesse. Ses griffures dans mon dos déclenchèrent en moi une rage traduite en une accélération de mes déhanchements, dont la force ne cessait d’augmenter au-delà des capacités humaines provoquant un plaisir démesuré à la petite Cathaline. Mon membre fouillait son intérieur pendant que je remontais l’une de ses jambes pour placer mon épaule à l’intérieur de son genou. Les vagues de mon bassin s’accentuait avec mon bas ventre qui butait sur cette cuisse recourbée. Multipliant les positions et la violence des pénétrations, je vins à trois reprises en elle… Puis nous nous endormîmes l’un en l’autre, mais ma journée de sommeil fut amputée des deux heures par la gourmandise de Cathaline… Mais la vraie surprise s’avançait vers moi sans que je puisse en deviner la nature alors que la nuit tombait. Mal réveillé, j’interpellai ma belle complice qui m’avait promis que notre première journée d’amour serait également la dernière…
« Cathaline peux-tu me dire ce que tu va faire de tous ton argent ? »
Et là je vis débarquer une religieuse en tenue complète, et dedans ce trouvait Cathaline. Avec des yeux rond, je perdis pied en découvrant ce mirage.
« Oui mon amour, je suis religieuse et damnée de mettre commis avec une créature des ténèbres… et pour mon argent, je pense que tu a déjà deviné où il va aller… je te quitte et ne te reverrais plus jamais, mais je te garantis d’attendre le crépuscule de ma vie pour me confesser de nos pêchers… tu ne risqueras donc rien… » ))
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- XIXe siècle - Fêtant leur cinquante de vie commune, Karl voulait préparer une petite surprise à Olga, toujours friande de nouvelle technologie, et parti pour Londres dés l’aube après s’être assuré que sa belle se soit suffisamment abreuvé sur cette fidèle Louise... Errant dans les rues chics du vieux Londres, il prit la direction d’un libraire qu’il savait passionner des dernières publications de vulgarisation scientifique, quand il entraperçu une vieille édition de « The Times » datant de mai 1803 et intitulé « Bonaparte crashed the Amiens’s pact ! ». Titre racoleur mais clair sur la situation entre les deux pays, il le prit et le plia pour l’enfourner dans sa poche intérieure. Après avoir ses achats, il rentra bien vite chez lui, il s’enquit aussitôt de l’opinion de sa compagne sur ce qu’il venait de découvrir. Mais rien, sentant monter son angoisse, il fouilla toute la demeure mais rien à faire, Olga avait disparu.
Ne comprenant pas ce qui lui arrivait, il cherchait une raison pour laquelle sa compagne aurait pu partir en douce… Ils s’aimaient, çà il en était sûr !... Mais alors pourquoi ?... Descendant dans la cave où le cercueil d’Olga se trouvait, une fumée noir venait l’accueillir sans aucune raison valable à sa présence, il eut alors un choque, le cercueil transpercé d’un pieu de part en part, finissait de bruler sous les vapeurs d’essences… Il se précipita en enlevant sa veste pour éteindre les dernières flammèches, mais c’était trop tard, il tomba sur ses fesses dans une expression de déconfiture totale. Qui pouvait avoir fait çà ?... Par bonheur ou pour adoucir son malheur, Karl aperçu les fluides de liquéfaction de sa belle qui indiquait qu’elle avait été tué avant d’être incinéré. Mais s’était également, la preuve d’une haine dépassant tous ce qu’il avait pu rencontrer.
Après quelques minutes où Karl ne se souciait même pas de sortir pour respirer de l’air pur, il leva la tête et tomba le regard sur une marque, celle du clan auquel Olga appartenait. Ainsi ils avaient retrouvé leur piste et n’avaient jamais accepté leur relation. Fou de colère, Karl à la recherche des membres de ce clan, il en trouva quelques uns qu’il détruisit sans aucun remord et même en ressentant une certaine forme de jubilation. Il était sûr de ne pas les avoir tous éliminé mais sa rage se calmait, seul sa tristesse et son chagrin persistait à lui montrer qu’il était toujours vivant. Le mois de novembre 1811 vit le début des émeutes Luddites, quand il décida de partir s’installer en Écosse, ça lui pris pratiquement deux ans pour tous faire envoyer au manoir qu’il y avait acheté.
Loin de tout, il y pansa ses plaies du cœur, sans jamais guérir complètement il continua de vivre, achetant de plus en plus de livre sur les vampires désormais. Plus il était ancien, plus il était prêt à le payer à un prix exorbitant, il acquit très vite la bibliothèque la plus complète sur les deux sujets. Échangeant ses doublons contre des manuscrits de plus en plus rares, il passa plus de soixante dix ans à fouiller tous les bouquinistes de l’Ile, allant même faire un voyage à Rotterdam pour un seul livre très rare. Cherchant à s’occuper l’esprit, il investit en 1857 dans le procédé « Bessemer » pour une fabrication d’un acier de meilleure qualité. Les années s’écoulèrent sans que Karl ne s’intéresse vraiment aux progrès humains qui semblaient sans fin.
Au lendemain de l’entrée en vigueur des statuts de ‘dominion’ (en date du 1er juillet 1867), donc d’État indépendant au sein de l’empire britannique qui fait du Canada une confédération, Karl prend la décision de partir s’y installer. Bien sur, ce fut beaucoup plus long, la majorité de ses affaires et de ses biens partir quatre mois avant lui avec un commissionnaire qui devait aussi lui procurer une grande propriété dans le nord du pays. La vente de son manoir écossais réalisé, il partit à la suite et arriva deux mois plus tard, il ne perdit pas de temps à se reposer et traça sa route directement vers cette propriété.
La vie y était beaucoup plus rude, cela lui rappela les temps de son enfance et de son innocence. Installé depuis une quinzaine d’années, où il ne fut pas facile de se faire accepter par les peuples amérindiens locaux mais avec du temps, de la patience et des menus services rendu quelques fois à ces derniers, il fit son nid. Les nouvelles arrivent jusqu’à son coin perdu, certes avec un certains décalage, les nouvelles ne sont de toute première fraîcheur mais elles sont là. C’est ainsi qu’il apprend deux ans après, qu’une sculpture d’un français a été érigé à l’entrée du port de New-York… Il eut quelques aventures avec des jeunes indiennes, sans qu’il y ait des conséquences qui seraient irréparables. Les décennies s’écoulent sans heurt et sans passion, mais il domestique sa métamorphose dorénavant en utilisant des techniques de contrôle mental formé par de profondes méditations… Toutes ces techniques venaient de chine en même temps que les travailleurs qui installait les voies de chemins de fer…- XXe siècle - Notre « tout nouveau britannique » voit s’ouvrir en même temps que le 20e siècle, l’exposition universelle en se rendant à Paris pour rapatrié les dernières affaires encore sur le territoire français. Et donc quelques jours avant l’inauguration de cette dernière, il s’installa au Ritz, un hôtel construit deux ans auparavant. Ceci lui permit d’être frais et disponible pour cette journée du 15 avril 1900 où les beaux discours apporteront un certain éclat à la France. Karl veut tout voir, passant du palais de l'électricité à celui du génie-civil pour finir par le pavillon des Arts. Et il serait rentré en Angleterre avec l’orgueil de l’ancien français qu’il a été, si le trente du même mois une passerelle s’écroule en causant neuf morts.
** A ces humains, à force de vouloir faire mieux que l’autre, on ne n’aboutit qu’a l’échec **
Les deuxièmes jeux Olympique de la nouvelle ère terminés, Karl prend le bateau pour rentrer dans ce qu’il considère comme son pays. Viens alors le train-train quotidien qui reprend se droits sans s’émouvoir de la mort de la « black Queen », Édouard succédant à la défunte Victoria tournant un pan de l’histoire britannique. Avec son couronnement l’année suivante, les affaires de Karl ne cessaient de s’accroitre, l’enrichissant de plus en plus. Inspiré par un sixième sens, il fit rapatrier tous ces biens dissimulés en France et en profita pour vendre sa dernière propriété en terre limousine en juin 1911.
Passant sous silence les deux guerres mondiales auquel il participa sous deux identités différentes sans vraiment l’avoir désiré. Mais pour conserver sa fortune désormais entièrement investi en Angleterre, il se devait d’être présent pour ne pas éveiller l’attention sur sa véritable nature. De ce gâchis, il ne retiendra que deux choses, les découvertes de nouveaux vaccins et médicaments, ainsi qu’un progrès notable dans la destruction de toutes formes de vies. Cette soif d’améliorer les moyens de tuer avait toujours été une constante chez les humains. Mais ils apportaient des progrès techniques et scientifiques qui interpellaient le lycan. Celui-ci s’interrogeait sur la limite des hommes dans la maîtrise de leur autodestruction, et également sur les difficultés qu’il avait pour appréhender les dites trouvailles.
Voilà un siècle que le rythme des innovations va s’accélérant d’année en année, au point que le mot de rupture s’impose. Cette ère nouvelle, avant tout celle de la science, il là passa avec une de ses congénères, à la curiosité encore plus développé que chez lui… Ils vivent une relation ponctuée par les périodes de pleine lune dont les lendemains fusent de reproches sur l’infidélité de l’un ou de l’autre. Mais tant bien que mal ils arrivent à passer les années 60-70 où ils expérimentèrent tous les produits que l’imagination humain générait. Le mouvement musicaux, les nouveaux gadgets électroniques et les nouveaux produits de consommations envahissaient leur environnement. Soif de tranquillité et de se poser pour digérer les cinquante années passés, ils décidèrent de partir pour le Canada, et après avoir mis trois ans à résoudre toute les démarches administratives, ils prirent l’avion le 24 juin 1983 pour Vancouver… Amérique, Karl vient te voir. D’autant qu’au fil des siècles, sa nature werewolf prenait de plus en plus le pas sur sa nature humaine, en se rapprochant d’un sang pure, il pu contrôler ses transformations. Surtout que les morsures reçues lors de rencontres avec des meutes de ses congénères avaient augmenté sa concentration sanguine et stabilisé son état de loup-garou au point que l’on pouvait presque le confondre avec un pur race…
- XXIe siècle - Installé depuis presque trente ans, Karl dû changer d'identité pour ne pas éveiller les suspicions générés par l'absence de vieillissement. Reprenant ses nom et prénoms qu'il avait reçu à sa naissance, il revivait un peu en même temps ses souvenirs d'un temps à jamais perdu, ceux de l'ignorance. Emménageant dans les faubourgs de Toronto, il reprit par un héritage organisé la fortune qui était sienne. Non convaincu du bien fondé de se révéler dans sa véritable nature à la face entière du monde, Karl garda ses habitudes de dissimulations devenu avec le temps un réflexe quasi naturel. La vie de loup-garou suivait une routine plus qu'ordinaire si l'on exceptait les morts de certains des concurrents à notre antiquaire qui abusaient des largesse légale que le droit commerciale canadien offrait au gens peu scrupuleux. Maintenant à la tête de deux boutiques d'antiquités sur le continent nord américain, Karl aiguisait son appétit pour la création d'une troisième boutique en Floride. Prospectant le sud des Etats-Unis, il parvint petit à petit à s'implanter durablement et à émettre des espoirs d'avenirs. Voyageant sur toute la côte sud-est du pays, il n'arrivait pas à choisir un point de chute, jusqu'à la découverte d'une autre motivation.... - Que suis-je venu faire dans ce patelin…:
(( Quittant Vancouver pour New-Orleans à bord d’un cesna-CJ3 pour rencontrer un très bon client qui avait émit une commande bien particulière de mobiliers français. Sans être avide, je voyais dans ce voyage une opportunité d’étoffer mon carnet de clientèle en passant par Dallas au retour. Je n’appréciais que peu ce coin de la planète où les créatures les plus démoniaques avaient fait leurs nids avec de nombreuses conséquences pour la population. La veille de mon départ j’avais très mal dormi, les cernes sous mes yeux affichaient encore plus ostensiblement cet état de fatigue, mais je ne pouvais remettre mon départ.
Devenu un véritable solitaire, je n’avais plus aucune confiance en quiconque, allant jusqu’à passer tous les permis de conduire ou de pilotage valable sur la planète pour ne dépendre de personne, j’étais ainsi libre d’aller et venir où bon me semble. Après avoir décollé dès les premières lueurs du soleil, le vol se déroula sans véritable jusqu’au routage aux abords de Dallas plongeant directement vers la belle Cîté du jazz. Mais il ne fallait pas rêver, l’orage me rappela que je ne pouvais pas tout contrôler et que la nature avait son mot à dire. Le ciel devint si sombre que je ne voyais quasiment rien à travers cette vitre, c’est à ce moment de stress et de fatigue visuelle que mon appareil subit les assauts de la foudre.
Normalement équipé de toutes les sécurités, le jet ne semblait pas avoir supporté cet afflux électrique, tous mes compteurs et affichages de navigation. Perdant toutes indications sur ma vitesse, ma position et l’état de fonctionnement de mon avion, je basculais sur pilotage manuel plus rude, mais efficace dans les situations les plus critiques. J’avais bien fait de choisir un modèle dit archaïque, je descendis doucement à la recherche de repères visuels… Tout bascula en une fraction de seconde, avant même que je puisse réagir, je vis une forêt fonçant sur moi… L’avion se brisa alors que je plaçais mes bras devant moi comme une protection bien futile vu la situation. Un profond silence sonna la fin de la catastrophe sans que je puisse imaginer ma situation réelle. Sans savoir le temps qui s’était écoulé, je repris connaissance en comprenant aussitôt que mon corps était trop meurtri pour être en mesure de me relever. J’entendis alors les bruits d’éclaboussures que des pas s’approchant de moi et se frayant un chemin dans ces nauséabonds marais. Relevant la tête, je n’en crus pas mes yeux en fixant mon sauveur.
« Mademoiselle… je ne saurais pas imaginer une telle invraisemblance à devoir mon salut à une si belle jeune femme en ce lieu… Ne suis-je pas en train de délirer ?... »
Perdant conscience dans les minutes qui suivirent ce sauvetage, je me réveillais dans un lit confortable et luxueux, en face de moi se postait une ‘dondon nègre’ qui se réjouissait de mon retour parmi les vivants. Je ne pus m’empêcher d’interroger cette plantureuse femme sur la belle ‘sirène’ qui m’avait extirpé de ce marais où je me voyais déjà mort.
« Où est la femme qui m’a sauvé ?... … Et où suis-je ? »
« Oooh j’en sis rien missieux, moi je vous y récupéré sur mon entrée… Le shérif à d’ailleurs tout plein de questions pour missieux !… Et vous êtes à l’hôtel de Bon Temps, missieux. Ca fait cinq jours que vous êtes ici… »
« Quoi ?... … Cinq jours… Mince mon client !... »
« Oooh !... Pas di problème missieux… Un missieux de New-Orleans est venu ici, il s’y inquiété de pas vous y voir à l’aéroport… Il a réglé tous les frais d’avance… y pour longtemps en plus !... Il a dit de prendre votre temps… »
Me laissant seul à mes pensées, je réfléchissais aux propos de la soubrette en me demandant comment j’allais retrouver la femme qui m’avait sauvé sans chercher la moindre récompense. Passant la semaine qui suivie à rechercher la moindre petite information qui me conduirait jusqu’à ma ‘‘sauveuse’’, mais les autochtones étaient peu enclin aux confidences envers les étrangers. Il me fallait donc m’installer pour trouver cette jeune femme sauvage qui errait en plein marécage, mais arriverai-je à la retrouver ?... ))
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“AND YOU ARE JUST... ?"
Qualités : Intelligent - Instruit - Curieux - Fort - Eduqué - Méfiant - Généreux avec les méritant - Fidèle - Instinctif - Calme
Défaut : Sombre - Taciturne - Mélancolique - Misanthrope - Curieux - Manipulateur - Rancunier - Sournois - Impulsif parfois… - Instinctif
Don :
- CAPACITÉS LOUP-"GARIQUES":
& Transformation Instantanée : Un Loup-Garou peut, s'il le souhaite, se transformer quand il veut, où il veut sans limite de temps. Aucune contrainte lunaire n'est nécessaire.
& Odorat Primaire : Grâce à cette particularité, un Loup peut suivre n'importe qui en suivant tout simplement son odeur. Son odorat recouvre ses limites lorsqu'il est simplement humain.
& Ouie Fine: Capacité permettant à un Werewolf d'entendre plus loin que la normale ce qui est très pratique pour pister une proie qui désire se jouer de lui. Et ceux même sous sa forme humaine…
& Force Surhumaine : Lorsqu'il se transforme, un loup-garou possède une force décuplée. Toutefois, il ne peuvent pas se servir de cette force supérieure en restant humain…
“BEHIND THE COMPUTER"
| PSEUDO : Mikalus AGE : 40 ans AVATAR PRIS : Karl URBAN COMMENT AS TU ATTERRI ICI : MP d’une joueuse ailleurs…. CE QUE TU PENSES DU FORUM : Il est un peu trop tôt pour le moment, il semble toutefois relativement actif.. FICHE : [X] Terminé [ ] En cours CODE DE VALIDATION :
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Dernière édition par Karl O. Korvinsky le Ven 11 Nov - 19:17, édité 39 fois |
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Hey, c'est Lloyd A. Witherdale ▌Dispo pour rp ? : Oui ▌Sexe : ▌Sms : 1720 ▌Total des points : 1984 ▌Birthday : 31/03/1987 ▌Age : 37 ▌Localisation : A Bon Temps pour l'instant ▌Humeur : Soucieux de protéger mon secret
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Sam 5 Nov - 13:19 | |
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Bonjour Jeune Lycan, Je me présente. Je suis Ryan Keenan, fondateur. Je me chargerai de ta fiche afin qu’il n’y ait aucun problème et que tu sois validée le plus rapidement. Je commencerai donc par te donner les points essentiels pour bien débuter sur le forum. Rends-toi dans la partie: Tu y trouveras le règlement. Il est important de le lire, aussi est-il déconseillé de tricher pour avoir le code. Et surtout, n’oublie pas de le signer ! Si tu hésites encore entre personnage inventé ou poste vacant, rend-toi dans: Tu y trouveras des personnages du livre, comme des personnages créés par les membres. Il te sera ainsi plus aisé d’avoir des liens pour ton personnage, et de t’intégrer au forum. Si au cours du jeu, tu as une question à poser, tu dois prévenir d’une absence, ou tu souhaites faire ta demande de RPs, rend-toi aux: . Tu y trouveras également les annonces importantes du staff, les demandes de RP, qui te sera utile au cours du jeu. Les recensements ont aussi lieu dans cette partie-là, alors il te faudra t’y rendre régulièrement. Afin d’avoir des RPs plus passionnant que de simples « Salut moi c’est machin et toi ? », tu peux faire des demandes de liens dans: Si tu as besoin d’aide pour un avatar, tu peux également te rendre dans: Et demander à un graphiste de t’aider. Ou te rendre dans: Après toutes ces formalités, venons-en à ta fiche… Je te signale que les points verts indiquent les points qui sont en ordre alors que les points rouges signifient faut qu'il les faire ou les refaire. • Code du règlement bon • Règlement signé • Avatar à la bonne taille • Nombre de lignes respecté et respectant l'univers :: True Blood • Rôle précisé • Test Rp posté Il te reste seulement le code du règlement à trouver ainsi qu"une signature à apposer. Toutefois, j'ai une légère interrogation au sujet de l'âge de ton personnage. Il ne me semble pas avoir lu une telle prouesse, je me renseigne et je reviens vers toi. Si tu as besoin d’aide, n’hésite pas, je suis disponible !
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Hey, c'est Pam S. DeBeaufort ▌Dispo pour rp ? : Non ▌Sexe : ▌Sms : 4744 ▌Total des points : 5234 ▌Birthday : 01/07/1990 ▌Age : 34 ▌Localisation : At The Fangtasia ▌Humeur : FUCKING BO PEEP !
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Sam 5 Nov - 13:58 | |
| Ouel'Come here Karl, contente que tu te sois inscris |
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Hey, c'est Karl O. Korvinsky ▌Sexe : ▌Sms : 118 ▌Total des points : 129 ▌Localisation : Bon Temps, depuis peu !... ▌Humeur : Placide en générale
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Sam 5 Nov - 14:26 | |
| Pas si vite.... je n'ai pas fini.... J'ai quand même mis le code trouvé et signé l'approbation du règlement.... |
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Hey, c'est R. June Mcklein ▌Sexe : ▌Sms : 182 ▌Total des points : 197 ▌Birthday : 27/06/1989 ▌Age : 35 ▌Localisation : Certainement là où il ne faut pas
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Sam 5 Nov - 15:08 | |
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| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Sam 5 Nov - 16:08 | |
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Hey, c'est Pam S. DeBeaufort ▌Dispo pour rp ? : Non ▌Sexe : ▌Sms : 4744 ▌Total des points : 5234 ▌Birthday : 01/07/1990 ▌Age : 34 ▌Localisation : At The Fangtasia ▌Humeur : FUCKING BO PEEP !
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Sam 5 Nov - 16:46 | |
| hâte de voir comment tu vas organiser ta venue dans le bled paumé qu'est Bon Temps, ton histoire est superbe et je vois que monsieur a été amoureux d'un vampire... |
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Hey, c'est Karl O. Korvinsky ▌Sexe : ▌Sms : 118 ▌Total des points : 129 ▌Localisation : Bon Temps, depuis peu !... ▌Humeur : Placide en générale
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Sam 5 Nov - 21:21 | |
| Merci pour le chaleureux accueil mesdemoiselles.... |
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| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Dim 6 Nov - 11:45 | |
| Salut, Ô Loup-garou, et bienvenue dans notre communauté (: Ca me semble être une très belle fiche que tu as concocté là ! |
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Hey, c'est Karl O. Korvinsky ▌Sexe : ▌Sms : 118 ▌Total des points : 129 ▌Localisation : Bon Temps, depuis peu !... ▌Humeur : Placide en générale
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Dim 6 Nov - 15:17 | |
| Si le staff ne voit aucun problème... J'en ai terminé... Je peux RP ?.... ... c'est qu'il y a de jolies métamorphes.... |
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| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Lun 7 Nov - 11:14 | |
| Bienvenue Karl |
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Hey, c'est Karl O. Korvinsky ▌Sexe : ▌Sms : 118 ▌Total des points : 129 ▌Localisation : Bon Temps, depuis peu !... ▌Humeur : Placide en générale
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Jeu 10 Nov - 18:11 | |
| Merci pour l'accueil Aaron...
@Staff ; Personnage abandonné... bonne continuation à tous le monde... |
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Hey, c'est Pam S. DeBeaufort ▌Dispo pour rp ? : Non ▌Sexe : ▌Sms : 4744 ▌Total des points : 5234 ▌Birthday : 01/07/1990 ▌Age : 34 ▌Localisation : At The Fangtasia ▌Humeur : FUCKING BO PEEP !
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Ven 11 Nov - 9:15 | |
| En dommage ton personnage est très intéressant pourtant O.O |
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Hey, c'est Lloyd A. Witherdale ▌Dispo pour rp ? : Oui ▌Sexe : ▌Sms : 1720 ▌Total des points : 1984 ▌Birthday : 31/03/1987 ▌Age : 37 ▌Localisation : A Bon Temps pour l'instant ▌Humeur : Soucieux de protéger mon secret
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Ven 11 Nov - 15:03 | |
| Suite à mon MP je te valide avecbeaucoup de retard, je m'en excuse encore une fois Ton Personnage est très intéressant et point de vue originalité, tu correspond au forum je te rassures. |
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Hey, c'est Karl O. Korvinsky ▌Sexe : ▌Sms : 118 ▌Total des points : 129 ▌Localisation : Bon Temps, depuis peu !... ▌Humeur : Placide en générale
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky Ven 11 Nov - 19:27 | |
| Bon puisque c'est OKI, j'ai inclus une sorcière sans la nommer, donc j'attends l'event avec hâte... |
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Hey, c'est Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky | |
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| | | | Un antiquaire particulier - Karl O. Korvinsky | |
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