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CHAPITRE 1

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Supplier n’aurait servis à rien, lorsqu’il glissa ses mains perverses sous ma jupe, que son corps occupa chaque parcelle du mien. Étouffant sous son poids. Je me rendis compte que c’était fini. Il avait une totale emprise sur moi, j’étais prisonnière, esclave de cet homme qui me déshabiller avec une envie bestiale, malsaine qui me révulsé. J’avais été si insouciante, inconsciente comme à mon habitude de faire confiance à mon père. J’aurai du voir dans ses yeux affamé que je ne serai pour lui qu’un jouet, qu’une proie facile. Je me demandais alors si j’étais la première, ou une victime parmi tant d’autre dans les bras dépravé de cet homme de qui j'étais la chair et le sang. Je n’avais rien vu de mauvais en lui si ce n’était son regard insistant qu’il portait sur moi. Il ne me lâchait plus et je pleurai, les larmes salées perlée sur mes joue blanche, je me sentais comme une vulgaire poupée de chiffon baladé dans tous les sens. Mon regard croisa le sien, et j’eu peur, tellement peur. Voir cette haine, mêlé à cette colère et cette envie. Il n’était pas humain de ressentir de tel sentiments, je serai plus tard que c’était possible j’en ressentirai une si grande partie … Mais à cette instant ma pureté d’enfant me conservé bien de tout ses maux. Je ne bougeai pas impuissante, presque stupidement hébété. J’avais au début tenté de me débattre, une véritable rage m’avait envahis toute entière. Mais bien vite je me rendis compte de mes vains efforts. Et j’abandonnais alors tout espoir …

Durant tout ce temps où il salit mon chaste corps, je fermais les yeux tentant d’oublier se que j’étais en train de subir. Je ne voulais pas y penser, je m’étais ma tête en arrêt, tenté de ne penser à rien comme dans un cauchemar. Je sentais des douleurs lancinantes dans toutes les parties de mon corps meurtris. Il me détruisait, je n’étais qu’une enfant, une pauvre petite sotte. Le temps parut s’arrêter, je ne me souviens pas combien de temps cela aura durée mais il me sembla que l’éternité était beaucoup plus courte. Lorsqu’il en eu fini avec toutes les perversités possible à m’infligeai il se dégagea de moi.

CHAPITRE 2

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« Sally !!! » Mon cri déchira le silence du grand manoir Heathcliff. Je regardais ma soeur se vider de son sang, sa vie partir définitivement de son corps, écroulé sur le sol ses yeux vides me scrutaient comme une prière. Partir, avant de subir le même sort qu'elle. Partir et ne jamais revenir, m'enfuir dans le néant et qu'il ne retrouve jamais ma trace. Je fermai les yeux, sanglotant, pleurant l'être qui me tenais en vie, pleurant ma soeur, ma jumelle. Pleurant mon impuissance. Moi, son ainée, attachée sans pouvoir rien faire d'autre que de hurler ma douleur. Je voyais défilé devant mes yeux nos rires, nos après-midis cachés dans le grenier à nous raconter des histoires pour oublier, s'abandonner à des jeux insouciants nous changeant des vices vécut la plupart du temps. Les vices d'un père pervers, violent et indubitablement mauvais. Elle m'avait dit qu'elle voulait partir, s'enfuir de ce trou, oublier tout ça, son corps salie, sa virginité volée. Elle voulait recommencer une vie. Sally avait toujours été plus courageuse que moi beaucoup plus mature malgré qu'elle ai un an de moins que moi. De nous deux celle qui prenait les décisions, celle qui été la plus téméraire s'était elle. La meilleure, la plus forte, ma sœur, le ciment de ma vie. Sa mort causa en moi une perte de conscience, je voulais pour elle partir, ne pas mourir, vivre pour nous deux.

Évidemment, père réussis à faire passer cet odieux meurtre pour un accident. Quelques jours plus tard mes maigres économies en poches je réussis à m'enfuir. La peur au ventre, pendant plusieurs semaines j'allais de motel en motel. De rencontre en rencontre où ma beauté me permettait de ne pas passer mes nuits dehors. Prenant le train pour m'éloigner au plus, du manoir. Enfin j'arrivais dans une bourgade peuplé. La masse me fit me sentir presque en sécurité, qui me retrouverait dans une si grande ville ? Pour travail, je fus engagé comme prostituée dans un établissement de renom. Me permettant d'avoir un appartement, de vivre assez aisément et ce malgré les ravages que mon corps subissait chaque soir.

CHAPITRE 3

L’appartement est plongé dans la pénombre, je suis entièrement nu me contemplant dans le miroir en pied de ma chambre. Je regarde mon corps meurtri, livide, d’une pâleur extrême laissant paraitre mes os seyant sous ma peau. Je ne me souviens pas m’être un jour trouvé belle, je le suis cela ne fait aucun doute, j’ai dans ma minceur des formes avantageuses, une poitrine naturellement attirante, un corps envié par bien des jeunes femmes. Mais je me suis toujours dégouté. Je ferme les yeux, les scènes se bousculant dans ma tête. Je revoie son visage bestiale, dément, ce soir là lorsqu’il me prit se qu’une jeune fille a de plus précieux. Je me souviens de tant de détails je n’en peux plus, et les scènes défilent dans ma tête plus douloureuse les unes que les autres et étrangement j’en retire une irrationnelle jouissance. La douleur aussi abjecte soit t’elle me comble, elle est ma partenaire depuis tant d’année. J’ouvre les yeux et regarde l’heure, il est temps ! J’attrape sur le coté mes sous-vêtement et une robe noir, courte qui une fois enfilé épouse parfaitement les courbes de mon corps mutilé par tant de mal. Je lâche mes yeux du miroir et vais m’asseoir à la coiffeuse dans l’un des coins de ma chambre. J’y saisis une brosse et dans un mouvement mécanique brosse mes cheveux d’un noir de jais luisant lentement à la faible lumière des lampadaires de la rue passant par la fenêtre. Enfin posant la brosse, je cerne mes yeux de noir, juste un trait et mes yeux d’un bleu éclatant s’intensifie. J’attache pour finir les sangle de mes escarpins, orne mon décolleté d’un collier et je me lève décidé attrapant ma cape avant de sortir en fermant la porte à double tour. Je me dirigeai alors comme chaques soir à la maison close où je travaillais maintenant depuis 6 ans. J'y avais mes habitués, des hommes politiques, des riches héritié, des vieu pervers. Mais ce soir j'avais un nouveau client. L'homme quime fit face dans la chambre me parut d'une beauté indéscriptible. Une attraction m'attira vers lui et il me fit découvrir des sensations inexploitées. Lorsque ses crocs percèrent mon cou je ne réagis pas immédiatmment, puis il me lacha des gouttes de sang coulant de ses lèvres. Un vampire, il me força alors à devenir l'un des siens. La douleurs ressentit cette nuit là fut insurmontable, je voyais ma vie défiler devant mes yeux. Ma transformation me rendit alors pire, la vie éternelle, ressasser indéniablement mes douleurs, vivre avec cette douleur. Mourir. Je vous à mon créateur une haine sans bornes, je le hai pour ce qu'il est, ce qu'il a fait de moi, une éternelle. Un être qui éprouve le moyen compulsif de tuer, de détruire, tout ce que j'ai toujours exécré. Je vis loin de lui mais sa présence raisonne dans ma tête comme une douce létargie, il reviendra je le sais. Et ce jour la je le détruirai. Je passe mon temps à me battre contre ma nature humaine et ma nature vampirique. Le bien et le mal se mélange en moi et j'en deviens folle. Ma nature bonne me dicte d'enquêter sur la disparition d'Eric mais cette garce de progéniture que je ne peux voir en peinture garde toutes les information pour elle, et je n'arrive à rien savoir. Mais croyez moi, si mon coté humain me dicte de rechercher et que quelqu'un me barre la route, mon coté vampirique et sadique à vite fais de s'en méler ....

Qualités : Intelligente- Humaine - douce - curieuse- forte - courageuse - sociable - Bien élevé.

Défaut : Caractérielle - violente - froide- sadique - inconsciente - indomptable - folle - rancunière - Manipulatrice.

Don (si tu en as) :

CAPACITÉS VAMPIRIQUES:

PSEUDO : Paradoxal AGE : 19 ans AVATAR PRIS : Nina Dobrev COMMENT AS TU ATTERRI ICI : Par Prd, vous m'avez fait un prédef juste exceptionnelle. CE QUE TU PENSES DU FORUM : Il est sublime bravo ! CODE DE VALIDATION : OK BY RYAN KEENAN