AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
ON RECHERCHE CLAUDE CRANE, MARNIE STONEBROOK, SAM MERLOTTE, ET BEAUCOUP D'AUTRES!

A L'Epreuve Du Temps 785869 LES SOIRÉES CHATBOX SONT LES VENDREDI ET SAMEDI DES 21H
A L'Epreuve Du Temps 785869
Le Deal du moment : -47%
SteelSeries Apex 9 TKL – Clavier de jeu ...
Voir le deal
79.99 €

Partagez

A L'Epreuve Du Temps

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage



Lloyd A. Witherdale

Hey, c'est
Lloyd A. Witherdale

▌Dispo pour rp ? : Oui

▌Sexe : Masculin
▌Sms : 1720
▌Total des points : 1984
▌Birthday : 31/03/1987
▌Age : 37
▌Localisation : A Bon Temps pour l'instant
▌Humeur : Soucieux de protéger mon secret


A L'Epreuve Du Temps Empty
MessageSujet: A L'Epreuve Du Temps A L'Epreuve Du Temps EmptyMar 27 Déc - 21:27


♣ PLUMES DU PASSÉES ♣
Je ne l'avais pas revu depuis cette nuit. Je ne pouvais oublier cette soirée, chaque instant était à présent gravé dans ma vieille mémoire... Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement parce que j'ai eu la peur de ma vie ! Personne ne savait d'où provenait cette créature, je n'en avais jamais vu et je ne pouvais pas leur dire toute la vérité, après tout, je tiens aussi à mon petit jardin. Cette homme aussi occupé mes pensées.. NONNN !!! Pas dans ce sens (petit pervers). Il m'avait intrigué, je sais au fond de moi que nous nous sommes déjà rencontrés auparavant. Des années, j'en ai au compteur, je me souviens de presque toutes les époques que j'ai traversé, pas énormément mais assez pour disposer d'un savoir sur le monde surnaturel qui n'est pas négligeable. Ella me posait beaucoup de question à ce sujet, mes mensonges tenaient la route pour l'instant, je devais la protéger de mon passé, de moi. Je n'ai pas toujours été aussi gentil, me défendre des prédateur faisait partie de mon quotidien, j'ai développé après la mort de mes parents une antipathie pour les autres presque une envie de tuer pour survivre à n'importe quel prix. Côtoyer la magie au côté d'Arlette m'a donné une ouverture d'esprit à laquelle je m'attache aujourd'hui. Lui révéler mes capacités fut une terrible épreuve pour notre "amitié", je la considérai comme une tante, après tout, elle se comportait très dignement envers moi, j'aimerai lui rendre l'appareil aujourd'hui, tout ce que j'espère, c'est qu'elle soit fière de moi, pour mes actes présents, le passé ne nous appartient plus vraiment une vécut, on ne peut que l'enfouir au plus profond, pour ma part, il était enfermé à double tour.

J'aurais pu rester coucher aujourd'hui, le soleil m'avait réveillé très tôt et mes cauchemars aussi d'ailleurs. Mon humeur ressemblait à mes draps, légèrement froissée. Une douche chaude plus tard, je me retrouvais à faire tournoyer ma petite cuillère dans mon bol de chocolat chaud. L'odeur du pain chaud avait finit par envahir ma cuisine ouverte sur la salle à manger, les informations défilées en boucle sur mon écran plat, j'affectionne beaucoup la technologie, toutefois, je ne pense pas qu'une personne des environs soit capables de me dépanner un jour en cas de besoin. N'ayant pas envie de tourner en rond, je décidais de me rendre à Shreveport pour la journée, Pam et Eric me manquait un peu depuis le départ de Marnie, leur faire profiter de ma mauvaise humeur serait une bonne occasion de leur rendre visite ce soir, avec un peu de chance, il n'y aurait personne sur route et j'aurais le temps de flâner un peu au centre ville. En montant dans ma voiture, je laissais le hasard choisir de la musique qui allait accompagner mon voyage... Lady Gaga... L'album complet... Merci Ella ! Je laissais mon esprit vagabonder lorsque le moment s'y prêtait, les lignes droites ce n'est ce qui manque sur le chemin. Fredonnant de temps à autre, je pensais faire carrière dans ma salle de bain sur la musique Alejandro... Mais qui était ce jeune homme ??? Dansant avec mes épaules, la voiture manqua de peu le fossé sur ma droite, je devais me reprendre, cette maladie est très contagieuse "La Ladygagatite". Apparemment aucun traitement ne peut soigner de cette addiction et ce prénom Roberto qui se répète dans ma tête ne m'aide pas du tout. D'un geste de la main plutôt brut, je parvins à éteindre ce qui me servait de poste, laissant le bruit des roues guider la fin de mon voyage. Le panneau Sheveport fut le seul à accueillir ma venue, je m'attendais à un comité ou au moins quelques corbeaux mais RIEN, NOTHING, NADA !

Trouver une place de parking non payante ne fut pas une mince affaire, et comme je n'abandonne jamais, je finis par dénicher la perle rare au bout d'une demi-heure. J'avais soif et je connaissais l'endroit parfait pour étancher cette dernière en m'offrant le meilleur déjeuner de la ville : Le Bugs. Le nom donnait l'impression qu'on y trouvait rien de bon mais comme on dit, il faut aller au delà des préjugés. A vrai dire, j'avais tellement fin qu'une valeur sûre était mon seul critère pour ce midi, la découverte de nouvelles saveurs, je le gardais pour mon prochain voyage.
En poussant la porte du bar-restaurant, glacier, je croisais des regards inconnus, ça me réchauffait le cœur, j'allais pouvoir passer une journée sans discuter, sans écouter quelqu'un me raconter sa vie déprimante, sans devoir afficher ce sourire de circonstance, ou je pouvais relâcher prise... Ahhhhhh. Le banc en mousse recouvert d'un cuir véritable ravit mon popotin. Un gamin me fixa lorsque la serveuse m'apporta ma commande, j'avais faim et surtout les yeux plus gros que le ventre, il allait connaître cette sensation un jour ou personne ne pourrait plus rien pour lui ! La télé diffusait un match de baseball, je croyais la saison en stand-by avec les fêtes de fin d'année, que je détestes cette période de l'année, les cadeaux, les bons sentiments, comme si le reste de l'année ne comptait plus aux yeux des gens, enfin, je compte pas déprimer pour autant, juste rester moi même.


<< Vous désirez autre chose Monsieur ? >>

Hein, Quoi, Qui, Comment ? Je fixais la serveuse comme si je revenais de très loin. Être dans la lune ne m'arrive que rarement et ce n'est pas beau à voir quand je refais surface, pour l'inviter à boire un verre après le travail, j'allais devoir râmer un peu plus.

<< Non, enfin, Merci ! Je suis désolé, j'étais un peu ailleurs.>> Dis-je d'une voix apaisée pour essayer de rétablir un semblant de normal à notre conversation.

Elle laissa échapper un rire radieux, je la contemplais d'un œil malicieux, ce soir allait être notre soirée, je le sentais.J'aimais faire de nouvelles rencontres cette jeune femme avait quelque chose de différent, un brin de folie dissimuler derrière cette uniforme standard. Oh ne croyez pas que je compte me servir de ces charmes pour satisfaire un besoin primaire, être un faé vivant parmi les humains m'a appris à être respectueux envers les autres, je ne ferais rien avant qu'elle ne le fasse !

<< C'est la première fois que je vois ici, je m'appelle Daphnée, je travail ici depuis 5 ans alors je connais les habitués. >>

Directe, concise, dans quelques minutes, elle allait me donner son numéro puis me dire à quelle heure son service prendra fin.

<< Ah ! Je viens de Bon Temps. J'avais envie de voir du pays aujourd'hui, à ce que je vois, je suis bien servit. >>

Trop occuper à assurer ma soirée torride, je ne remarqua pas tout de suite l'homme qui venait d'entrer dont le regard venait de s'arrêter sur nous après un balayage rapide du restaurant. Ce n'est qu'après un rire émoustillé de Daphnée que son comportement m'interpella. Sentant mon attitude se détourner, mon futur rencard m'annonça simplement qu'elle finissait à 18h et que je pouvais l'inviter à boire un verre après si j'en avais envie. Je lui répondis avec un sourire quelque peu crispé intrigué par cet homme grand, brun et mal rasé qui me fixait depuis le tabouret de bar où il avait élu domicile. Ma curiosité me poussa à essayer de lire dans ses pensées et je reconnu très rapidement qu'il s'agissait d'un loup-garou à la couleur de ces dernières, un rouge vif intense, apparemment, il se posait la même question que moi ...

¤ J'ai l'impression de le connaître... Il ne me dit rien... Pourquoi me fixe t-il comme ça ? Je dois paraître suspect... Mince, il m'a repéré !!! ¤

Je n'avais pas peur de lui, au contraire, les Where-Wathever me fascine depuis très longtemps et contrairement à lui je ressentais une curiosité débordante qui me poussa une nouvelle fois à dépasser les limites du raisonnable. D'un pas très décidé, je me dirigeais vers le bar, verre à la main, prétextant la commande d'une bière pour engager la conservation soutenu par un regard des plus interrogatif que je possèdes

<< Excusez moi, on se connait je crois ? Je ne sais pas où ni quand mais on s'est déjà rencontrés. Je m'appelle Lloyd, Lloyd Witherdale ! >>

Joignant le geste à la parole, un contact avec lui allait me permettre d'en savoir plus sur ses intentions, ses pensées n'étant pas très accessibles...


Revenir en haut Aller en bas



Karl O. Korvinsky

Hey, c'est
Karl O. Korvinsky

▌Sexe : Masculin
▌Sms : 118
▌Total des points : 129
▌Localisation : Bon Temps, depuis peu !...
▌Humeur : Placide en générale


A L'Epreuve Du Temps Empty
MessageSujet: Re: A L'Epreuve Du Temps A L'Epreuve Du Temps EmptyJeu 26 Jan - 13:26

Tardif mais actif:


De sombres pensées peuplaient l’esprit du curieux antiquaire, il avait eut une journée pourrit à chercher une bâtisse à acheter, mais ses exigences semblaient impossible à satisfaire dans ce bled paumé. Mais Karl se refusait à renoncer de s’installer dans ce coin de l’Amérique du nord, il avait perçut une ribambelle d’énergies maléfiques et leurs opposées, tant qu’il s’était mis à croire en un carrefour des forces telluriques centrées dans ce lieu isolé de Louisiane. Curieusement la malédiction dont notre antiquaire était victime, lui avait développé un sens à ressentir le mal partout où il germait, grandissait ou s’insinuait. Ayant développé avec le temps une théorie relativement simple, là où le mal tente de faire sa place, une source positive lui fait face avec une équivalente puissance.

Désireux de lever le sort qu’une sorcière lui avait jeté, Karl recherchait toute région du monde la présence des ténèbres impliquait celle de sa force opposée. En s’écrasant dans ce coin perdu d’Amérique du nord, le lycan avait presque retrouvé de la chance qui l’avait si souvent fuit. Entendons-nous bien, nous parlons de la possibilité de retrouver une mortalité si indispensable pour un équilibre existentiel propre à toutes formes de vies. Petit à petit, il prospecta les environs en décelant une richesse de créatures qui le poussa à changer ses projets, en recherchant une demeure à acheter pour s’offrir l’opportunité de trouver la perle rare. Toutefois ses visites immobilières ne le satisfaisaient pas, certes Karl désirait emménager en ce lieu, mais pas à n’importe quelles conditions.

Ereinté, le vieux lycan s’offrit un périple en dehors de son champ d’investigation, il lui fallait nettoyer la désagréable sensation d’une voie sans issue. Karl décida de se rendre en la petite cité de sa future associée dans cette nouvelle librairie, un projet qui lui avait été apporté entièrement prêt à l’emploie par une jeune sorcière. Il se devait d vérifier un certain nombre de points décrit par la belle Constance, même s’il avait acquis sa confiance, il n’en demeurait pas moins un homme d’affaire impitoyable. Ce qui lui avait d’ailleurs permit de ne jamais manquer de rien durant sa longue existence, pour ne pas dire de vivre dans l’opulence. Le voilà donc en route avec sa voiture de location pour la petite ville de Shereport, le trajet fut relativement court et Karl pénétra dans cette petite cité avec curiosité.

Guère plus importante que sa voisine, en apparence du moins, le lycan voyait ses besoins humains se rappeler à sa mémoire. Sans ce montrer exigent, il avait pris l’option de s’arrêter au premier resto’ ou ce qui y ressemblait le plus, facilitant grandement sa recherche. Car avec une étonnante facilité, il trouva le lieu pour se restaurer et celui de se garer juste à côté, que demandé de plus. Verrouillant les portières de son véhicule, il chemina tranquillement sur des trottoirs bien entretenu pour ce coin des États-Unis, Karl regardait cet environnement avec une satisfaction non dissimulée car la petite cité américaine confirmait tout le bien dépeint par cette chère Constance. Il entra de la gargote avec une faim que son estomac confirma bruyamment.

Au départ gêné, Karl se rendit compte que cela avait détendu les autochtones lui ouvrant ainsi la fenêtre de tranquillités qu’il ne pouvait qu’espérer par son statut d’étranger propulsé dans cet environnement réservé semble-t-il aux locaux. Une charmante serveuse lui fit des avances plus que clair sur ses espérances, conscient que la jeune femme devait sauter sur toutes nouveautés qui pointaient son nez dans son univers, le lycan sut habilement faire comprendre la brièveté de sa présence en ses lieux et les motivations professionnelles qu’il l’y avait amené. Des sourires chaleureux furent échangés ce qui rompaient de possibles tensions pour installer une relation amicale sans que cela soit trop artificielle. Le service fut en conséquence de climat serein, rapide et chaleureux avec de petites intentions que s’empressa de souligner ce bon Karl…


« Avec de telles attentions, je suis sûr de ne pas vous oublier !… et ma possible association dans un commerce dans cette commune me conduira certainement à revenir dans votre charmante commune »

** J’eu devant moi des portions plus que généreux, celles qui vous laisse un si bon souvenir qu’il vous donne envie d’une nouvelle visite **

La serveuse = « Alors !.. Surtout n’hésitez pas à revenir nous rendre une petite visite, je pourrais vous offrir mes services de guides… et qui sait ?.. » … Un large sourire accompagné d’un regard plus qu’entreprenant en disait plus long sur ses attentes, Karl ne doutait pas qu’elle trouvait un autre pour satisfaire ses exigences

« Je n’y manquerais pas, et cela ne semble pas impossible puisque je cherche à m’installer à Bontemps… »

Une délicate esquisse de sourire illuminait le visage de Karl, phénomène plus que rare, chez ce lycan d’un naturel bougon et misanthrope à l’apparence discrète, voir fantomatique par son impermanence dans l’esprit de ses rencontres. Il entama son repas lorsqu’une autre nouveauté venait d’apparaître, la serveuse en resplendissait de bonheur dans la perspective de remplacer un premier échec par une séduisante solution à son envie. Cependant, les sens de l’antiquaire se réveillaient en l’alertant sur la nature non humaine du nouveau venu, sans pouvoir en identifier l’origine et son appartenance. Le chaleureux regard donné à la belle employée du resto’ disparu aussi soudainement qu’il était apparu, Karl s’interrogeait sur ce personnage qui ne dégageait rien de maléfique, sans pour autant générer une aura bénéfique.

Sans s’inquiété outre mesure, la prudence guidait les actions du vieux loup-garou dont l’expérience d’une longue vie avait enseigné les qualités de l’observation avant de porter un jugement trop hâtif et conduisant souvent à de mauvais choix. Le jeune homme semblait s’interroger sur les regards prolongés du lycan, Karl comprit qu’il ne s’était pas montrer très discret sur son inquisition visuelle. En fait, les deux individus s’observaient mutuellement dans une quête qui se rapprochait dans leur but, cela semblait évident tant les yeux se fuyaient comme pour s’éviter une rencontre dérangeante. Cette situation ne pouvait s’appesantir, ce fut le dernier arrivant qui entrepris l’interrogatoire en se rapprochant du coin du bar qu’avait choisi l’antiquaire pour se sustenter rapidement...


« Excusez-moi, on se connait je crois ? Je ne sais pas où ni quand mais on s'est déjà rencontrés. Je m'appelle Lloyd, Lloyd Witherdale ! »

Cet abordage à la hussard, Karl n’en était pas friand et voyait d’un mauvais œil cette promiscuité avec une inconnu … « A priori, je ne crois pas vous connaître, mais il est vrai que mon arrivée en ce coin d’Amérique à sans doute laisser quelques traces sur ma mémoire… »

Sans pouvoir vraiment se l’expliquer, Karl ne voulait pas révéler ce qu’il était vraiment au premier curieux venu. Malgré tout, une fenêtre venait d’être ouverte et il aurait été stupide de ne pas s’y engouffrer, ne serait-ce que pour découvrir à qui il avait à faire !...

« Si cela ne vous dérange que je mange, nous pouvons toujours discuter !... Je me présente, Karl Korvinsky, citoyen canadien en quête d’affaires juteuses en bénéfices… »


Revenir en haut Aller en bas
http://lanothien.winnerbb.net/

A L'Epreuve Du Temps

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» (RP Libre) Découverte des vampires de Bon Temps
» Un nouvel habitant à Bon Temps ! [ Cheryl & Lloyd ]
» Pour passer du bon temps avec le beau blond
» Le Carnaval à Bon Temps - Feat. South People Citizens

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 ::  :: ϟ shreveport :: Centre Ville-